Compte-rendu : Restitution de l'atelier "Economie circulaire et prévention des déchets" du Forum "Climat Action" du 6 avril

Restitution Groupe 3

GROUPE 3

Regard et analyse sur l’économie circulaire

Le positif

Ce qui marche ?

Ce qui est fait ?

Les bonnes idées à garder

De plus en plus d’initiatives mais pas partout : attention aux zones blanches => inégalité de répartition

Epicerie vrac, mise en œuvre des consignes

La réduction des décharges sauvages. Changement des comportements citoyens

Bil ta garbi : bonne sensibilisation efforts zéro déchets

Beaucoup d’initiatives citoyennes : réparation, réutilisation

Vide greniers, boutiques d’occasion

Il existe une envie d’agir et de changements

Visibilité du potentiel de recyclage de certains déchets (verre et plastique)

Le négatif

Ce qui ne marche pas ?

Ce qui manque ? Les fausses pistes, les erreurs à ne pas répéter

Déchets qui partent

Manque de sites d’échanges pour trouver solution => covoiturage, réparation

Acteurs comme fournisseurs / distributeurs, n’ont pas intégrés la notion / ne font pas leur part concernant le suremballage et la valorisation

Manque d’implication des élu(e)s

Mauvaise compréhension de ce qu’est l’économie circulaire et ses étapes

Difficulté à mesurer la responsabilité du producteur.

Ne pas résumer l’économie circulaire au recyclage. Recyclage fausse solution car cela pollue

Le recyclage ne doit pas être une excuse à la création de déchets.

Besoin de plus de visibilité des initiatives et solutions existantes => communication mise en valeur.

Education aux déchets et au cycle de vie

Expliquer que le producteur de déchet est le premier responsable. Devrait être dans cahier des charges.

Pas assez de développement des consignes

Regard et analyse sur les défis à relever et les potentiels

Eléments de contexte positifs, favorables ?

Les atouts

Les potentiels

Une envie de faire mieux dans tous les aspects, le voisinage, lien social pour diffusion de l’envie d’agir.

CAPB se saisit du support pour copiloter. Donne de l’espoir pour changement rapide.

Volonté et besoin des citoyens et institutions

Dans petits supermarchés : produits locaux

Monnaie locale : Eusko

Tissu associatif / vitalité existante et prête à agir

OTSOKOP : Création de circuits-courts en agricultures. Lien direct producteur – consommateur et coopération / coopératif

Sur le Pays Basque un gros potentiel existant à mettre en lien => producteurs…

Existe formations, ateliers mais pas assez découverts

Eléments de contexte défavorables ?

Les freins,

Les contraintes

Manque de sensibilisation des acteurs économiques (restauration)

Bâtiments : beaucoup de carrières donc prélèvements ressources naturelles plutôt que valorisation déchets.

Envie d’agir mais pas de connaissances d’outils, d’accompagnement pour changer

Peur des élections de 2020 : pas de relâchement mais lancer des perspectives fortes. Peur que ce ne soient que des belles paroles

Freins aux initiatives : dur pour les associations de concrétiser les projets : fonciers, emploi. Précarité des emplois dans l’économie circulaire et beaucoup de bénévolat

80% des achats restent dans les supermarchés avec une forte production de déchets et l’absence de sensibilisation

La majorité des citoyens du Pays Basque ne sont pas conscients et n’ont pas accès à la sensibilisation et continue de surconsommer et restent dans leurs pratiques d’achat

Pas assez de maraichers (beaucoup de brebis) pour nourrir

Accès aux infos difficile (Journal)

 

Synthèse

Point 1

Existence sur le Pays Basque d’initiatives et envie de développement d’initiatives (citoyens et institutions…) mais qui se heurte à un manque de visibilité (que sur internet) et d’appuis concrets des acteurs porteurs de solutions : foncière, locaux, emplois précaires, « bénévolat dépendante » et trop d’autofinancement

Point 2

Comment atteindre la majorité de la population pour un changement de pratiques et les acteurs économiques.

  • 80% des personnes vont au supermarché et n’ont pas accès aux alternatives
  • Pas de mise en évidence de la responsabilité de producteur de déchet. Et constat d’irresponsabilité des producteurs de déchets.

Point 3

  • Besoin de ne pas réduire l’économie circulaire à la notion de recyclage.
  • Objectif doit rester la non existence des déchets, ne doit pas être encouragé.
  • Besoin de dissocier recyclage et économie circulaire.
  • Attention à la place du recyclage consommateur d’énergie, eau

 


Ressources bibliographiques

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